Dans une optique de renouveau, le cabinet d’avocats Barrié & Associés devient POLDER Avocats. Implanté depuis plus de trente ans dans la capitale des Gaules, le cabinet met son expertise à profit des entreprises, de leurs dirigeants et de leurs actionnaires, aussi bien en conseil qu’en contentieux. Fort d’une pratique restructuring reconnue, le cabinet lyonnais intervient également en M&A, en droit du travail, et fonde un département afférent aux fiducies.
Cabinet notoire sur la place lyonnaise assurant une présence parisienne, Polder Avocats s’offre une nouvelle identité pour un nouveau départ en réaffirmant sa pratique restructuring, contentieux, M&A et social. Parmi les associés on retrouve notamment Yannick Spegels, Antoine Blanc, Pierre-François Muller, et Aurélien Barrié, qui mène l’équipe du département Restructuring et procédures collectives en disposant d’une équipe composée de quatre collaborateurs : Franck Canciani, Marion Laterrot, Sarah Bouhamama et Benjamin Maubert.
Cette équipe dynamique et performante permet au cabinet de traiter une vingtaine de dossiers par an, en intervenant sur des dossiers tels que Toupargel, NFM Technologies, La marseillaise, Desvres, ou encore Diva salon.
« Bien que le nom se trouve modifié, l’esprit du cabinet reste le même : nous gardons les mêmes champs d’intervention et la même typologie de clientèle, quoi qu’avec davantage d’ETI et groupes de sociétés », souligne Aurélien Barré. Ce changement s’inscrit dans un processus de renouveau, l’occasion de rappeler pour l’associé que « le cabinet est capable de rallier des parties et de leur apporter des solutions amiables, mais aussi de défendre leurs intérêts ».
Depuis plusieurs années, le cabinet intervient également dans le cadre des fiducies, outil puissant dans le domaine du droit des affaires. POLDER Avocats revêt aujourd’hui la qualité de fiduciaire grâce à la création d’une filiale. La fiducie était déjà bien connue du cabinet, souvent utilisée dans l’aspect juridique, pour la gestion patrimoniale de leurs clients et en restructuring. Cette pratique trouve davantage d’intérêt du fait de la récente ordonnance du 15 septembre 2021 portant modification du Livre IV du Code de commerce. Aurélien Barrié pense qu’il « va y avoir un engouement autour de la fiducie, cette dernière pouvant permettre, compte tenu de la constitution des classes de créanciers, d’obtenir un meilleur rang dans le désintéressement des créanciers ».
Par Marie Jacquemin